[vc_row][vc_column width= »5/6″][vc_column_text]Rabi vit avec sa famille dans un village en pleine brousse. Il partage les jeux et les obligations des garçons burkinabé de son âge et apprend avec son père le métier de forgeron. Deux rencontres, avec Pugsa, un vieux sage du village, et avec une tortue ramenée par son père, vont engager chez l’enfant une réflexion et une prise de conscience sur la liberté, le respect des autres et de lui-même, le respect de la vie et de la nature…

Rabi, film limpide, couleur de safran, est délicat comme est délicat son réalisateur, Gaston Kaboré, qui donne à voir en douceur la vie d’un enfant de dix ans, dans un pays très lointain pour nos jeunes spectateurs, le Burkina-Faso. Dire combien il est important qu’à travers l’enfant Rabi s’exprime la découverte d’une vie, d’un paysage, de coutumes, d’une économie différents de ceux du monde occidental, semble une évidence.

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