LUX SCÈNE NATIONALE

Arts visuels + Arts scéniques
ARTS, CULTURE ET INNOVATIONS À VALENCE, DRÔME

Time & Money

CONCERT
Pierre Jodlowski / Wilhem Latchoumia / Jean Geoffroy

[vc_row][vc_column width= »5/6″][vc_column_text]Compositeur passionné et engagé, Pierre Jodlowski écrit une musique qu’il souhaite « active » et en prise avec notre monde et notre temps. Cette seconde saison voit l’aboutissement de sa résidence à LUX, marquée par son envie profonde de décloisonner la musique contemporaine pour la partager avec le plus grand nombre.

La saison dernière, le public valentinois découvrait la musique de Pierre Jodlowski à travers deux rendez-vous faisant la part belle aux ensembles musicaux, conviant ainsi l’Ensemble Orchestral Contemporain puis l’Ensemble Lux:NM. Pour ce premier rendez-vous de la saison, le compositeur met à l’honneur deux solistes d’exception, Wilhem Latchoumia et Jean Geoffroy à travers 5 œuvres de son répertoire.

Time & Money (2004, 17 min.), pour percussions et électronique. Cette pièce est probablement l’une des œuvres majeures du répertoire contemporain de percussion, jouée partout dans le monde depuis plusieurs années. Ce concert donnera lieu à une création visuelle intégrant la vidéo. La musique, basée sur des boucles et rythmiques simples, semble contrainte à un processus d’accélération inéluctable, comme notre obsession à vouloir aller toujours plus vite…

Mécano 1 (2004, 6 min.), pour grosses caisses et métronome frappeur. Cette pièce très courte met en scène un objet singulier de l’univers du musicien : le métronome. Habituellement utilisé lors de l’élaboration et l’apprentissage d’une œuvre, il disparaît au moment du concert. Dans “Mécano 1”, au contraire, les métronomes sont là, imposant leur mécanique à la fois immuable et fragile.

Dans le cycle des « Séries » pour piano, chaque couleur est l’occasion d’interroger une relation de la musique avec l’image. Série Noire (2006, 10’) s’inspire de l’univers du polar, plus précisément certaines de ses déclinaisons cinématographiques ; Série Blanche (2007, 7’) basée sur un principe d’écriture cumulative, déploie la sensation d’un espace vidé de sens, mécanique ; Série Rouge (2017, 12’) prend pour point de départ le cœur, organe, entité sonore, générateur de la machine humaine, portant les flux, rouges, du sang.

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