LUX SCÈNE NATIONALE

Arts visuels + Arts scéniques
ARTS, CULTURE ET INNOVATIONS À VALENCE, DRÔME

Acqua Alta – La traversée du miroir

Adrien M & Claire B

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ARTS NUMÉRIQUES

[/vc_column_text][vc_images_carousel images= »9095,9094,9093,9092,9091,9090,9089,9088,9087,9086,9085,9084,9083,9082,9081,9080,9079,9078,9077,9076,9075,9074,9073,9072,9071,9070,9069,9068″ img_size= »large » slides_per_view= »5″ hide_pagination_control= »yes »][vc_column_text]Adrien M & Claire B, artistes associés, ouvrent en poésie visuelle la saison de LUX à l’occasion d’une fête de rentrée, vernissage d’une double exposition : Acqua Alta – La traversée du miroir, accompagnée de Eurydices, œuvre de Marietta Ren.

Né à LUX en janvier dernier, le projet Acqua Alta se décline sous forme d’un spectacle, d’une expérience en réalité virtuelle et de l’exposition d’un livre pop-up enrichi par la réalité augmentée. Nos deux magiciens du numérique développent la forme exposée d’un prototype artisanal par l’édition du livre Acqua Alta – La traversée du miroir, prévue en 2020. LUX accompagne cette suite éditoriale et offre une nouvelle exposition de ce théâtre onirique de petites formes dansées qui apparaissent à travers une tablette.

Sa narration s’est créée avec les conseils scénaristiques de Marietta Ren, dessinatrice d’animation, auteure et réalisatrice d’œuvre numérique expérimentale. Elle est invitée par Adrien M & Claire B à exposer sa bande dessinée transmédia. Œuvre expérimentale interactive à mi-chemin entre cinéma d’animation et bande dessinée, Phallaina conte l’histoire d’Audrey, jeune fille souffrant de crises hallucinatoires au cours desquelles elle voit des baleines. En lui faisant passer des examens, un neurologue/chercheur décèle chez elle un physeter, une structure anomalique qui permet à ses porteurs de rester longtemps en apnée…

Inspirée des premières formes de narration graphique comme la tapisserie de Bayeux, des rouleaux chinois ou des fresques murales antiques, Phallaina offre un long travelling dessiné où les plans s’enchaînent par un jeu de transformations et de compositions graphiques. La bande défilée ne nécessite pas de répétition d’une même image légèrement modifiée pour donner la sensation de mouvement comme dans le dessin animé. C’est le déplacement du regard du lecteur qui crée le mouvement.

Primée dans de nombreux festivals de BD ou d’art numérique, Phallaina sera déployée dans les espaces de LUX, sous forme d’une fresque dessinée avec un dispositif sonore interactif. Ce roman graphique sera également mis en scène sous sa forme numérique, avec une consultation via tablettes et projection.

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