Makoto, une étudiante, et son amant, Kiyoshi, rançonnent des automobilistes, jusqu’au jour où leurs affaires tournent mal.

Oshima signe un film à « l’invention esthétique sans faille, qui se double d’un constat social d’une brutalité inconnue à l’époque en Europe à part peut-être chez Pasolini (…). La Fureur de vivre made in Japan : réellement impitoyable. » Les Inrocks