[vc_row][vc_column width= »5/6″][vc_column_text]Au fin fond de l’Arménie vivent le vieux Hamo et sa femme. Ils parviennent à peine à joindre les deux bouts avec l’argent que leur envoie leur fils depuis la Russie. Mais le vieil homme a un rêve : posséder une Moskvitch, qu’il considère comme la plus belle voiture du monde, et que le régime soviétique lui avait promis fut un temps. Or, une de ces automobiles est
en vente dans le village voisin…

Tout se passe comme si l’Arménie marquait aujourd’hui un temps d’arrêt, une période où ce qui domine n’est pas l’espoir, mais le souvenir. Ce que sous-entend Moskvitch, Mon Amour à travers ses destinées humaines. Et c’est précisément grâce à cela que l’histoire de l’infantile Hamo revêt un ton si actuel, à la façon d’une gifle.

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