Regards sur le cinéma tunisien
Les mises en scène du politique dans le cinéma tunisien
Intissar Belaid est née au Kef en 1984. Vit et travaille à Tunis. Elle a suivi ses études à l’Ecole Supérieure de l’Audiovisuel et du Cinéma de Tunis où elle a obtenu son diplôme national en 2009. Puis a obtenu son Master de Recherche en Cinéma à l’Université Paris 3 – Sorbonne Nouvelle en 2012. Elle compte à son actif la réalisation de quatre courts métrages dont Pousses de printemps (2014) et Beyond the silence (2017) ; elle développe également une oeuvre de plasticienne.
Ikbal Zalila est professeur d’esthétique de cinéma, d’analyse filmique et de cinéma documentaire à l’Université de la Manouba (Tunis) et ancien directeur artistique des Journées Cinématographiques de Carthage. Acteur important de la vie culturelle tunisienne, il préside l’Association Tunisienne pour la Promotion de la Critique Cinématographique (ATPCC). Il a soutenu en 2010 une thèse de doctorat à l’université Paris-1, consacrée aux actualités cinématographiques tunisiennes entre 1956 et 1970.
C’est délibérément dans les marges du cinéma tunisien que nous nous positionnons politiquement, esthétiquement et « cinéphiliquement » pour essayer de penser en compagnie de certains cinéastes la question de la résistance (pas uniquement en tant que négativité) dans certains films tunisiens avec ce credo qu’elle s’origine dans la forme. C’est depuis ses marges que les films, les plus singuliers,les plus radicaux ont vu le jour et rendu possible pour nous une (Re)naissance de l’amour pour un certain cinéma tunisien.
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