À l’occasion de la deuxième édition de Festiv’Ita

Mirco perd la vue à l’âge de dix ans et doit poursuivre sa scolarité dans un institut spécialisé. Loin de son père, il ne peut plus partager avec lui sa passion du cinéma. Il trouve pourtant le moyen de donner vie aux histoires qu’il s’invente : il enregistre des sons sur un magnétophone puis coupe les bandes, les colle et les réécoute…

Formidable film sur l’enfance et le cinéma, Rouge comme le ciel se regarde comme un film d’aventure, celles de ce jeune héros qui transforme son épreuve en joie de vivre. Un conte magnifique sur la condition humaine et un splendide portrait d’un des plus grands techniciens du cinéma italien.